Source : Pixabay.
Comme si 2020 et 2021 n’étaient pas suffisamment imprévisibles et difficiles, il ne fait aucun doute que 2022 sera une autre année de tests : de la pandémie de COVID-19 en cours à l’aggravation des impacts climatiques, aux crises humanitaires dévastatrices et à l’effondrement continu de conflits durement gagnés. Gains sur tout, de la réduction de la pauvreté à la réduction de la fracture entre les sexes.
L’année à venir mettra également à l’épreuve notre engagement et notre détermination à galvaniser et à renforcer la confiance au sein et entre les communautés pour relever la multitude de défis qui exigent que nous travaillions ensemble.
Alors que nous entrons dans la troisième année de la pandémie de COVID-19, il vaut la peine de prendre un moment pour apprécier la vitesse remarquable à laquelle les vaccins ont été développés et la conception et la mise en œuvre rapides de nouveaux modèles de partenariat révolutionnaires. Au lieu d’une solidarité mondiale dirigée par la science, nous avons vu une action lente et fragmentée, un leadership tiède et des luttes intestines géopolitiques. Ces réalités ont entravé notre capacité collective à prévenir et à ralentir les variantes Delta et Omicron, à recevoir des coups de feu et à protéger les personnes les plus vulnérables du monde. En conséquence, les cas signalés de COVID-19 ont atteint plus de 270 millions de personnes dans le monde, et le nombre de morts a dépassé les 5 millions, bien que nous sachions que les véritables péages sont bien plus élevés.
Voici une vidéo parlant de la vaccination en anglais :
2022 doit être l’année où nous comblerons les énormes lacunes de la riposte mondiale à la pandémie et où nous atteindrons l’objectif mondial de faire vacciner 70 % de la population de chaque pays d’ici le milieu de l’année. Sans atteindre cet objectif, nous nous résignons à un cercle vicieux. Pour atteindre cet objectif, nous devons nous attaquer de front à la persistance vexante de l’inégalité des vaccins. Alors que 66 % des personnes dans les pays à revenu élevé avaient reçu au moins une dose dans les bras au 15 décembre, seulement 9 % dans les pays à faible revenu en avaient reçu. La mobilisation d’un leadership de haut niveau pour cette réponse sera primordiale.
Cette année a vu la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (COP) la plus attendue depuis que les pays se sont réunis en 2015 pour négocier l’Accord de Paris, qui vise à limiter la hausse de la température mondiale à 1,5 °C par rapport aux niveaux préindustriels. Un élément important de l’Accord de Paris est un mécanisme de cliquet pour garantir que les acteurs reviennent tous les cinq ans pour proposer des objectifs climatiques plus ambitieux et tenir la promesse de Paris sur la bonne voie.
C’est dans ce contexte, bien qu’avec un retard d’un an en raison de la pandémie mondiale, que la communauté mondiale s’est réunie à Glasgow, en Écosse, lors de la COP26, servant de date limite importante et de test pour voir comment et si les dirigeants allaient intervenir.
Au cours des dernières années, les Français semblent adopter une approche plus prudente vis-à-vis des…
Dans un monde de plus en plus conscient des enjeux environnementaux, le recyclage du mobilier…
En 2024, le commerce en ligne continue de gagner en popularité en France. Les consommateurs…
Les protéines sont un élément essentiel de notre alimentation, jouant un rôle crucial dans la…
Il y a quelques années encore, envisager de regrouper ses achats de gaz et d’électricité…
La filière bois-énergie en France traverse une période de turbulences alors que des réductions significatives…
This website uses cookies.